Quelques petits machins en vrac...

J'ai récupéré mon PC! ^^
Voilà ce que j'ai trouvé dedans (j'ai aussi fait du rangement évidemment, donc c'est encore que des vieux trucs, sauf le derner que j'ai tapé genre juste avant les vacances)


Depuis que le monde est monde,
Depuis que la terre est ronde,
Tournent les astres et le destin ;
Le mien repose entre tes mains.

Soufflent les vents contre moi,
M’emporte l’eau dans le froid,
Ils ne m’affecteront en rien,
Puisqu’avec toi tout est si bien.

Je sens le sol sous mes pas,
Je sens l’herbe du sous-bois,
Je sens ta main serrant la mienne,
Et nos pensées qui se soutiennent.

Un mignon petit lapin,
Un feu de camp qui s’éteint,
Un ciel étoilé sur nous deux ;
Je t’aime, je dis sous les cieux.


Water

Dripping from the ceiling
Dropping from the skies
Drowning all my worries
All the while I sing.


That day

Sorrowful day
Clouds white and grey
My heart is gone
My life is done
All in a jiff
A guitar’s riff
I have fallen
From the Garden;
Such a strange voice
And eyes like ice
I’m here to stay
This joyful day.


Prayer to the dark

All encompassing Darkness
Covering the sky with its nightly coat
Harbinger of hope, and sorrow
Of despair and joy
Friend of the Wind
That comes and whistles and freezes
Shine upon the stars
And bring us to
Our troubled hearts.

The moonlight shines upon this world
In a watery unearthly loneliness
Oh, tonight to Darkness
The constant companion
Of friendless children with a dream
Shadow of Water
That goes and eludes and rains down
I feverishly pray
Religiously.

For all the talk of being cold
There is no greater fever
No greater blaze ever lit,
Indeed, than in your fold Darkness
Father of Fire
That dances and spits and consumes
Within our souls
Cover us all
With warmth and endless purpose.


Il entre, et le monde se tait. Tout s’arrête, et il ne reste plus que lui, grand, calme, étranger, son manteau noir absorbant la lumière, et les regards. Il reste immobile, et seuls ses yeux bougent, passent d’un client à l’autre, d’un employé à l’autre. Cherchent. Je me surprends à le dévisager, non, à le dévorer des yeux, à graver ses traits dans mon esprit, dans mon être. Il est pur, comme un ange ou un Satan, comme un crépuscule en mer ou un paysage de neige. C’est une écharde dans mon œil, un écueil dans mon cerveau, un filet qui prend mon cœur… Ses yeux se tournent vers moi, et son regard me couvre comme un manteau de velours noir, si doux, si sombre, si lourd… Je ne peux pas détourner le regard, ni retenir le sien, et il passe, il me quitte, ah la clémence… et la cruauté du geste. Je tremble, pendant qu’il examine le reste de la salle. Et ses mains déliées se meuvent doucement, m’hypnotisent, me charment. Comme un serpent, la tentation, comme une envie d’amour ou de meurtre… Il remet sa capuche, se détourne, et la douleur me brise, et son profil me reconstruit, si beau, comme un oiseau, ou un roi, ou une statue. Il ne bouge plus, mais je le sens se préparer à partir, sortir, comme il est rentré, n’ayant point trouvé ce qu’il cherchait. J’ouvre la bouche, je voudrais le retenir, avoir son nom, sa voix… Il me regarde à nouveau, yeux d’obsidienne, regard de soie, une caresse, une insulte, une gifle. Mon souffle se perd, je me perds dans le feu glacé que j’aperçois derrière. Il se retourne, et sort, d’un seul mouvement, souple et fluide, la grâce… Comme l’eau, comme le feu. Alors que la salle reprend vie autour de moi, je cours à la porte, vite, avant qu’il ne disparaisse, avant que la routine affligeante de mon quotidien ne reprenne… Personne. Lentement, je me retourne vers l’intérieur du magasin, bruissant à nouveau d’agitation, d’une banalité inutile, fatigante. La mienne. Je regarde dehors, et la brise du soir me glace jusqu’à l’os, faisant voleter mes franges, et des feuilles mortes de l’autre côté du trottoir. Après un temps de contemplation, je sors. J’abandonne mon sac, mon argent, ma vie dans ce magasin vide de sens, et je suis le vent qui murmure à mes côtés. Libre.



Voilà cette fois je devrais vraiment être vide ^^ j'ai un début de suite pour "vivre" mais c'est en suspens pour l'instant...

Nyo! Je trouve ca très chou:

Citation :

un mignon petit lapin

mais euh... ça m'a l'air limite déplacé, hehe

Bon, à moi.... Le premier a été écrit en 3 secondes. Le second... ça doit bien faire une heure que je suis dessus, à ajouter, enlever, effacer, corriger, déplacer... Enfin je suis pas très satisfaite du résultat final ><

Eclats de verre
Gouttes de sang
Echos de lettres
Reflets de chants



Tes larmes sont de sel, et proviennent des marées,
Les miennes sont de fer, et me viennent des glaciers,
Tes larmes vont se perdre, pour pouvoir te racheter,
Les miennes sans appel, sont là pour m’achever.

Tes larmes éternelles, ne coulent qu’une année,
Les miennes infidèles, ne savent qui pleurer,
Tes larmes toutes les mêmes, finissent par me lasser,
Les miennes criminelles, seront bientôt jugées.

Tes larmes de lumières, qu’ont-elles donc à cacher ?
Des peines mensongères, ou bien des joies volées ?
Les miennes sanguinaires, que prétendent-elles montrer ?
Le reflet d’un blasphème, la couleur du péché ?

Tes larmes étrangères, que peuvent-elles bien pleurer ?
Pas le cri des forêts, ni l’écho des armées…
Les miennes sont un mystère, qu’essaient-elles de noyer ?
Je n’ai ni cœur ni rêve, je n’ai rien à verser…

Remarque: j'ai rarement écrit de truc aussi long, dans petits machins en vrac. La plupart du temps, il s'agit de mots jetés à même le papier ^^[scroll]

Oh~~ J'aime beaucoup le poème de Yoru!! Le thème est très interessant, et pas trop cliché (comparé aux miens), et c'est vraiment bien trouvé!

Citation :

Tes larmes toutes les mêmes, finissent par me lasser,

Ce vers-là est un peu moins bien, enfin je trouve qu'il est pas en mirroir avec le vers suivant et ca fait un peu tache. Le reste est super.

Tiefug, j'adore la prose (marchombre, un peu? mais plus sombre, plus dangereux...) mais les poemes sont bof. Le dernier, "that day", j'aime bien, et la premiere strophe du premier poeme est géniale (J'adore les deux premiers vers surtout) mais a part ca...

Ca veut rien dire:

Citation :

All the while I sing.

"All this, while I sing."
"All this while I sing."
Tu vois la différence?

Mici thisa-chan ^^ je l'ai changé à nouveau (pour le meilleur, pour le pire?)

Tes larmes sont de sel, et proviennent des marées,
Elles ont un goût de miel, et des reflets bleutés,
Les miennes sont de fer, me venant des glaciers,
A l’arrière goût amer, aux éclats acérés.

Tes larmes vont se perdre, pour pouvoir te racheter,
Retourner à la mer, et te faire pardonner,
Les miennes sans appel, sont là pour m’achever,
Me refuser le ciel, et puis me foudroyer.

Tes larmes éternelles, ne coulent qu’une année,
Fragiles comme du verre, elles sont vite brisées,
Les miennes infidèles, ne savent qui pleurer,
J’ai oublié les stèles, les noms que j’ai gravés.

Tes larmes couleur de ciel, sont là pour désarmer,
Jeter les hommes à terre, à genoux à tes pieds,
Les miennes criminelles, ne me laissent espérer,
Elles mènent en enfer, au milieu des damnés.

Tes larmes de lumières, qu’ont-elles donc à cacher ?
Des peines mensongères, ou bien des joies volées ?
Les miennes sanguinaires, que prétendent-elles montrer ?
Le reflet d’un blasphème, la couleur du péché ?

Tes larmes étrangères, que peuvent-elles bien pleurer ?
Pas le cri des forêts, ni l’écho des armées…
Les miennes sont un mystère, qu’essaient-elles de noyer ?
Je n’ai ni cœur ni rêve, je n’ai rien à verser…

C'est beaucoup mieux, et j'adoooore !

Premiere strophe c'est fait expres d'échanger la couleur et la provenance?
Tu as écrit:
"Tes larmes sont de sel, et proviennent des marées,
Elles ont un goût de miel, et des reflets bleutés,
Les miennes sont de fer, aux éclats acérés,
A l’arrière goût amer, me venant des glaciers."

J'aurais mis:
Tes larmes sont de sel, et proviennent des marées,
Elles ont un goût de miel, et des reflets bleutés,
Les miennes sont de fer, me venant des glaciers,
A l’arrière goût amer, aux éclats acérés.

Ah oui ça marche aussi! c'est même mieux ^^ je le change sur le champ ^^

Black is for the mourner
The dead of soul
Back turned on the brightness
Of memories

Black is for forgiveness
And to remember
And to lose oneself
In death

Black is for old blood
Buried hatred
Still live under the years
Six feet under ground

Impossible d'écrire en noir sur un fond noir...Dommage...

Ben, on pourrait dire "and all the while, I sing" dans ce cas-la on comprends mais ca fait pas très beau... Parce que sinon on a envie d'associer "while I sing" en un groupe et après ça veut rien dire...

Et puis, je suis obligée de te gronder pour le "+fav&run" il faut faire ça qu'avec les gens qu'on connaît pas

C'est moi ou je suis très inspirée ces temps-ci? enfin c'est pas de la grande poésie, hein, des machins en vracs, cf le titre de ce topic...

Inspiré par mon stylo plume:

Regardez, les lettres sur le stylo dans ma main s’effacent peu à peu.
Il ne reste plus que quelques traces blanches sur fond de nuit, étincelles sur leur lit de mort, ou neige qui fond.
On devine encore…
« J’écris donc je suis.»
Donc?
Consciente de son absurdité, la conjonction a décidé de déserter.
« J’écris … je suis »
Bien lasse d’être, l’inscription s’écaille, doigts fatigués lâchant prise l’un après l’autre, ou édifice de sable que vient détruire la marée, morceau par morceau, à coups de vagues.
Ne reste plus que « j’écris », qui disparaîtra lorsque mon cerveau bien trop lent réalisera enfin qu’il n’a jamais été capable de lire la définition de ce verbe. J’écris ? Certes non…
Dans ma main, une plume en deuil d’elle-même, morte presque, morte déjà, sans jamais avoir servi…

Celui là est... que dire... strange? du genre, aucune rhyme, pas trop de rythme, limite, ce sont des mots en l'air ^^' voilà donc je ne l'aime pas trop, mais bon...

Danser avec la mort
Frôler la lame
Un sourire aux yeux…
mystérieux…
Suivre la frappe
l’éviter
Au dernier moment
sacrifier
Une goutte de sang
la reprendre
Du coin des lèvres
en souriant
Ne rien perdre
ni donner
Voir son reflet
de près
Sentir l’acier
froid
Sans jamais le
toucher
Effleurer l’autre
tranchant
Du bout des doigts
caresser
Ou bien parer
brusquer
Echanger et puis
tourner
Laisser les voiles
voler
Inviter d’un geste
leste
Ou d’un regard
de défi
Changer les pas
l’ordre
Ralentir ou bien
accélérer
Approcher et enfin
s’écarter
Au son au rythme
danser
Sans jamais
arrêter

De sourire…

Attendre
avec impatience
Le rire
dernier de tous
Folie
ou son reflet
Larme
tristesse ou joie
La fin
le dénouement
Le pas
que l’on n’évite plus
Le coup
que l’on accueille
La lame
en pleine poitrine
Le fil
contre son cou
Laissant
son cœur brûler
La tête
Tomber avec fracas
Le sang
couler en rythme
Echos
de la dernière mesure
L’accord
qui clôt la danse
La note

Finale
Fatale...

Mon premier en anglais je crois^^ plutôt basique

With me…

Learn to lose
Learn to waste
Learn to lie

Teach me

How to move
How to dare
How to smile

Watch me

Stop to choose
Stop to care
Stop to try…




voilà pour aujourd'hui ^^

La fin du premier est zarb... "mon cerveau bien trop lent" sa fait pas très poétique lol

J'aime bien le rythme du deuxième, en fait. C'est cool quand on le lit à haute voix.

Le dernier est bon, enfin, c'est un peu simple mais ça le fait bien. Bon effort pour l'anglais, XD

Chaotic Ink

Black ink splashes on a canvas
Yellowed by time like old parchment,
Vibrant with life and pain, fervent
In sinful pleasure, a Black Mass.




Villanelle

Many wars have been waged and many winds have blown
And the face of the world has been changed forever,
But through the darkest times always the light has shone.

You have been through it all and now you walk alone,
You’re the only one left to say “we’ll remember”
Many wars have been waged and many winds have blown.

As the sun sets again you will let out a moan
And you’ll wait for the moon that you know will be there,
For even through dark times always the light has shone.

Places of destruction, full of poppies have grown,
And your understanding, as you watch, grows deeper,
Many wars have been waged and many winds have blown.

Do not worry so much, you for one should have known,
That no matter how ferocious this new danger
Light will shine through it all as it always has shone.

Eyes full of nostalgia, your features a light frown,
You try to keep in mind this eternal wonder:
Many wars have been waged and many winds have blown
But through the darkest times always the light has shone.

Ooh... un triple post... N'empeche, c'est pas ma faute! J'ai bien attendu...

Bon, je voudrais vous présenter un site Internet super: Write or Die.
addresse: http://lab.drwicked.com/writeordie.html
Just go check it out! C'est bien pour vous convaicre d'écrire!

Ça m'a fait sortir des trucs vraiment bizarre par contre... Je vous poste celui qui est le plus compréhensible:


There was never anything between us, except maybe a familiarity due to habit. We had established a sort of ritual: every morning, when I passed his bench on my way to work, he would call out good morning, and I would reply and to you my sir, and walk away. In the evening when I passed him in the other direction, it was my turn to initiate the greetings. Sometimes when it was cold, I would stop to buy a cappuccino in my favorite little café beforehand, and in that case I would always buy a latte for him and hand it to him on the way. On those days, I could expect to be greeted with the offering of cookies and biscuits when I met him on my way back home. I never knew his name, and he never knew mine. We weren't friends, nor could you call us acquaintances. We were two strangers who had developed by force of habit a non-relation in which we found comfort and relief. We were constants in each other's life.

Greaaaat! That is exactly what i need!!!!!! luv you thisa chan, where did you find that? faut trop que j'essaie ^^

et j'avoue, ca doit donner des trucs trop louches! mais ca doit etre trop fun aussi ^^

J'espère bien que tu vas essayer! J'ai trouvé ça à travers NaNoWriMo... C'est un site pour un 'concours' où on est censé écrire un roman en un mois - Impossible...

QUOIIIII un roman en un mois??????? mais c'est impossible!

Bah apparemment y en a plein qui finissent... En même temps ils sont tous trop "random" leurs romans, mais bon... Le but c'est d'avoir 50 000 mots à la fin quoi...

Then, one day, he disappeared. When I walked by his spot in the morning, he wasn't there. He just wasn't there! Nor was his hat, or the coat he usually left spread out on the bench, or even the cigarettes that usually littered the ground around him. At first, I was angry. He was supposed to be the most constant person in my life, after all. Then, I was confused. Why would he leave his spot (the spot he had occupied for the last year and a half), when he was there yesterday looking as healthy as ever? Quickly, I became worried. Did something happen to him? I reassured myself: he might have found a job, or decided to go back home, or maybe he had been called to visit someone (though how that could happen when I was sure that he didn't have a mobile phone, nor did he have any way or receiving letters, I didn't know). In the end, I settled on slightly concerned, and walked past the bench towards my workplace.

That evening, he still wasn't there.

The next day, it was snowing. I picked up two coffees, by habit, and also because I hoped he would be back. He wasn't. I left his latte on the bench, just in case. It was still there when I walked home. (After all, this was a very secluded spot. Nobody ever came here, especially in winter.)

When, on the third morning, I found the bench still empty, I became really worried.



J'ai ouvert Write or Die, puis je savais pas quoi écrire, donc c'est devenu une suite! J'ai de la chance qu'on a rien posté entre temps. Ça mène nulle part, mais j'aime bien....

Mmmh c'est triste je trouve, j'aurai laissé le premier inchangé ^^
enfin tu fais ce que tu veux ^^
havent got the occasion to test it yet...

c'est vieux ça... ça date du début de l'année...

Les mots me glissent
Entre les doigts
S’esquivent m’évitent
Se rient de moi

Les traits se brisent
Et dans ma main
La mine s’enlise
Comme à dessein

Les lettres partent
Quittent le papier
Tournoient s’effacent
L’air amusé

L’aquarelle coule
Sans un reflet
Puis se dissout
Sans un regret

L’encre s’égoutte
Rejoint le temps
Me laisse un doute
Un trou béant.

et puis un truc non fini

Laisse toi aller, laisse toi tomber
En ce bûcher, laisser toi guider,
Il n’y a rien pour t’entraver,
Ni rien qui puisse te sauver.

Oublie tes pleurs, oublie tes peurs,
En Ma demeure, oublie ton cœur,
Viens donc rejoindre ces profondeurs,
Et t’immerger en cette douleur.

Le deuxième poème est si... "Yoru-sama Esprit de l'Ombre" -ish...
^^'

J'aime bien le premier, surtout le thème et

Citation :

"Les traits se brisent"

et

Citation :

"L'encre...
Rejoint le temps"

[J'aime pas le verbe (s')égoutter... égouts!!]

ben j'ai pas trouvé mieux à vrai dire ^^'''

....Okay so "All this while I sing" might be better (I know, it's been forever since I posted)
Et ouais c'était censé être plus ou moins marchombre/Frontier -ien il me semble... ^^

C'est vrai que c'était bien le poème de Yoru mais je suis un peu hors du coup en ce moment... Donc je sais pas dire quelle version est mieux ^^ désolé!

Et Arthisa tu triches! Tu postes à la fois sur Spirits et sur dA! Genre tout le monde ne t'as pas déjà en DeviantWatch! (pour le black thingies et le non-relation - et le black mass et le villanelle)

Par contre Yoru le dernier post de la page 19 (l'anglais et le stylo) j'aime beaucoup! Bien joué pour le randomness!

Et le triple post c'est pas grave, ça veut juste dire que vous avez plus le droit de nous embêter pour ça! nananèreuh! ^^

Y a une suite à la suite? parce que finir par "I became worried" ça le fait pas trop... En même temps c'est pas vraiment un "vrai" truc donc c'est pas trop grave... Même si j'aime bien... ^^

Et le bûcher c'est complètement Yoru! ^^

Moi j'ai rien c'était juste pour dire que j'avais enfin lu tout ça ^^

Teh? I thought it would be a super-long message!

D'abord, c'est pas de la triche de poster en deux endroits en même temps. C'est just pour augmenter tes chances (et les chances de piro) de les voir. (Même si avec piro ça marche pas trop.) En plus, pour le "non-relation", je l'ai posté sur Spirit's avant de le poster sur dA!

Sinon, ouais, je voulais faire une suite à la suite, mais je trouvais que c'était pas si bien, et puis pour faire une suite il faut que je trouve un "plot"... Bleh!

Ca, pour ne pas marcher! ^^

bon, des trucs qui, je crois, ne sont pas finis... vous savez, le genre de vers qui viennent en cours (vi, ça m'arrive toujours, pire, c'est plus fréquent qu'avant!)

Oh pauvres échos de douleur
D’où venez-vous ? Où allez-vous ?
Que cherchez vous donc en ce cœur
Qui se prélasse dans la boue ?

et puis

Au fond, tu ne sais faire que ça…
Aligner des lettres, reformer des mots
pour leur sens, sans leur sens…
Jouer les échos, faire tinter les sons
dans un but, sans un but…
Ne cesser d’errer, tourner en rond
rechercher, rien chercher…
Et finalement, tout cela pour
ne rien dire, rien écrire…

un truc du même genre que le stylo

Le sable file entre mes mains. Il ne tient qu’à moi de le retenir, ou de laisser couler… Ou de le lâcher, d’un coup, bras ballants et tête baissée… Sentir le vent balayer les restes à mes pieds, comme il souffle la poussière qui s’accumule sur les tombes…

une phrase, comme une révélation...

Cette envie de chanter
qui te prend à la gorge
comme l’eau du noyé.

Et encore

Pleurer tout son saoul jusqu’à vider la mer
Puis se rabattre sur l’encre et sur son goût amer
Enfin goûter au sang et à ce froid de fer
Finir par se figer en un silence de verre.

et enfin, ce que j'ai essayé d'écrire en réponse à Never Dark, mais qui reste inachevé, et le restera, je pense:

Les rayons du soleil
atteignent ta peau
brûlent tes yeux
mais peuvent-ils seulement
caresser ton cœur ?

Celui-ci ne dialogue
jamais qu’avec l’ombre
au creux d’une main
dont les doigts doucement
se referment

tout un tas de trucs qui marinent dans mon ordi depuis un certain temps ^^ je crois que j'en ai aussi dans mon agenda...